LE CHRETIEN ET L’AUTORITE SECULIERE

Comment réagissons-nous lorsque nous entendons le mot autorité? Ressentons-nous une vague d’amertume à l’idée que quelqu’un soit au-dessus de nous? Aspirons-nous nous- même à un poste d’autorité? Malheureusement les annales de l’histoire humaine culminent entre ces deux extrêmes: la soif et l’abus de l’autorité, ou un sentiment de rébellion contre l’autorité. Ce qui est perceptiblement absent. Dans la vie courante, la soumission volontaire à l’autorité est une exception. Un bon gouvernement selon Dieu, gère bien les relations humaines, agit dans la justice et la crainte de Dieu comme le dit le roi Ezékias «O Eternel! Souviens-toi que j’ai marché devant ta face avec fidélité et intégrité de cœur, et que j’ai fait ce qui est bien à tes yeux!» (Esaie 38: 3a). Mais trop souvent les gouvernements gèrent mal et on peut observer des failles dans les relations humaines par rapport au pouvoir.